Quelles sont les actions correctives menées?
Quelles sont les raisons de vos résiliations?
Quelle position adoptez-vous?


Résiliation de contrat
A chaque agent, à chaque équipe sa méthode!!...
Pratique du pré-terme?
Recontacter un client qui a envoyé sa lettre de résil?...

Mais qu'en est-il des résultats au regard du temps passé à tenter de "conserver le client"?

Existe-il une méthode plus efficace qu'une autre?

1 client de perdu, 10 de retrouvés??

La cause de la résiliation est-elle analysée?

Loi Chatel: bénéfice ou inconvénient?

Résiliation: fatalité ou acte raisonné de la part du client?

Et la responsabilité des offres des banques ou mutuelles dans l'acte de résiliation de vos clients?

Et la responsabilité de la qualité de la gestion des sinistres via plateforme?

Le prix est-il la cause de vos contrats sortants?




Rédigé par CC le Dimanche 14 Novembre 2010 à 16:00 | Commentaires (1)

Votre position: SUBIR ou AGIR?


Ce que pensent VOS clients!
Campagnes de publicité conviviales, promotions tarifaires, rien n’y fait : les assureurs ont beau tenter de se départir de leur mauvaise image, les Français ne les aiment pas. Ebranlées par la crise financière et par de nouvelles directives réglementaires plus strictes, les compagnies souffrent d’une image désastreuse auprès du grand public, montre un sondage commandé par Carrefour Assurances à l’IFOP, et réalisé fin août, sur les Français et l’assurance.
D’abord, 73 % des Français jugent que les assureurs ne sont pas trop à l’écoute des besoins des clients, et qu’ils cherchent surtout à vendre leurs produits. Et 78 % qu’ils font peu ou aucun effort pour s’adapter à leurs nouveaux besoins et à leurs attentes. Pire encore, plus d’un Français sur deux estime que les assureurs considèrent leurs clients comme de simples numéros. Des numéros dont les assureurs ne veulent plus lorsqu’ils ont trop de sinistres, et donc qu’ils ne sont plus rentables.
La bonne nouvelle, pour les assureurs, c’est que, malgré la crise, 81 % des Français envisagent de maintenir leur budget de dépense en matière d’assurances habitation ou automobile. Et seuls 4 % d’entre eux ont l’intention de changer de prestataire pour leur contrat automobile (5 % pour l’habitation).
En même temps, les Français savent qu’on ne change pas d’assureur comme on change de téléphone, même si la loi Chatel, entrée en vigueur en 2008, a simplifié les procédures en la matière. « On a l’impression qu’il est difficile de changer d’assureur, mais c’est plus une impression qu’une réalité », estime Pierre-Olivier Grall, directeur des assurances Carrefour, citant le fait que sa compagnie effectue l’intégralité des démarches nécessaires au changement d’assurance pour ses clients.
Manque de clarté des termes employés (81 %), manque d’écoute (73 %), excès de formalités (63 %) sont des clichés qui collent au secteur et à la qualité de la relation avec ses clients. Et pourtant, ce n’est pas faute de tenter de l’améliorer. Chez AXA, on a mis en place en 1999 un « baromètre client », et depuis cette année un « baromètre de crise » pour étudier l’évolution des besoins des clients pendant la crise. Résultat : les clients d’Axa veulent plus de sécurité dans leurs placements, de meilleures garanties dans leurs contrats, plus de clarté, plus de transparence et plus de pédagogie.
Cinquante actions gratuites (les « Axa Miles ») auraient pu être versées cette année à chacun des 120 000 salariés d’Axa, notamment si l’indice de satisfaction de ses clients était passé à 82 %. Pas de chance, les collaborateurs n’ont rien eu : l’indice n’avait atteint que 81,2 %.

Source : http://www.lemonde.fr


Rédigé par CC le Jeudi 14 Octobre 2010 à 11:00 | Commentaires (0)
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