QUALITE ASSURANCE

Web 2.0.

Web 2.0. Un terme qu'on entend partout, et à toutes les sauces...



Web 2.0.
Au point qu'il n’est plus une start-up un tant soit peu sérieuse qui ne truffe pas son business plan de termes comme «2.0.», UGC («User Generated Content» ou contenu créé par l’utilisateur), «communautaire», «folksonomie», convergence et autres «usabilité». Le tout, bien entendu, en version «Beta».
Derrière cette énumération qui peut paraître barbare au non-geek (et à certains geeks d’ailleurs), le web 2.0 désigne surtout un ensemble de transformations opérées dans le web. 

Web 2.0.
Remontons le temps, et revenons aux lointaines années du web 1.0.

Souvenez-vous, c’était en 1997. 1,1 million de personnes  à peine étaient alors reliées à Internet en France, le plus souvent à l’aide de modems 56k au grésillement caractéristiques.
Le minitel réalisait plus de 1 milliard € de Chiffres d’affaires et internet à peine 500 millions !
Jacques Chirac cherchait la biscotte sur son PC et l’Elysée n’avait pas de réseau informatique : les échanges de fichier se faisaient sur disquette.

Il y a peine 15 ans !! 

Les débats intellectuels évoquaient les «autoroutes de l’information». Et le web était essentiellement composé de stocks : des pages html statiques, peu ou pas mises à jour, auxquelles on accédait à l’aide d’annuaires les recensant par catégories.

Le web 2.0., c’est le passage du stock au flux : l’information devient dynamique. Les pages web changent chaque jour. Elles ne sont plus en html, mais utilisent d’autres langages de programmation, qui affichent le contenu de bases de données où les informations circulent.

Le web 2.0., c’est aussi l’irruption de l’utilisateur qui devient consommateur.

L’internaute se rebiffe : là où il n’échangeait que via des forums et autres newsgroups, il peut maintenant se créer une identité numérique, faire partie d’un ou plusieurs réseaux sociaux. Ceux des blogs, mais aussi de communautés diverses et variées. Surtout, il participe. On compte près de 3 millions de bloggeurs en France, qui s’échangent leurs billets et se tiennent au courant via la technologie du fil rss.

Sans compter les millions de photographes discutant de leurs œuvres sur Flickr,  tous les possesseurs d’une page Facebook, ou les centaines de milliers de vidéos produites par tout un chacun et mises en ligne sur Internet. Dans le web 2.0., l’usager fait sa loi. Il décide du classement et des catégories d’un site à l’aide de tags, de mots-clé. Ce qu’on nomme la folksonomy. Il hiérarchise les informations qui lui paraissent les plus importantes en votant sur Digg, Wikio ou Dailymotion. Bref, comme l’avait expliqué Time Magazine en décrétant que la personne de l’année 2006, c’était «vous», le web 2.0. c’est le web des gens.

Qualité assurance ne peut pas rester en dehors de cette évolution et vous proposer d’exploiter au mieux ce nouveau canal de distribution pour vous, vos prospects et pour vos assurés.

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