QUALITE ASSURANCE

Utiliser la méthode pédagogique "vente multiniveau" pour développer son réseau de mandataire

Autant dans un réseau salariés, il vous parait évident que le directeur commercial touche un variable sur le niveau de production des commerciaux salariés. Pourquoi votre mandataire indépendant ne pourrait-il pas être commission sur l’équipe qu’il a lui-même construite ?



Cette méthode pédagogique permet plus de résultats, plus rapidement et avec moins de frais en utilisant le bouche à oreille

La vente multiniveau (également appelée Multilevel marketing (MLM) en anglais ou encore marketing de réseau…) désigne une structure de vente dans laquelle vos mandataires peuvent « parrainer » (en clair, recruter) de nouveaux vendeurs en se rémunérant en partie par une commission prélevée sur les ventes de leurs «filleuls».

Les courtiers qui utilise l'organisation MLM pour leur réseau de distribution sont aujourd’hui plusieurs centaines en France dont on ne voit pas les publicités à la télévision : cette méthode de vente élimine ce type de frais onéreux en lui substituant le bouche-à-oreille, gratuit ! 

mais surtout cette organisation du réseau de distribution vous permet de développer rapidement un réseau de mandataires motivés et efficaces.

cette méthode pédagogique permet de développer votre réseau de mandataire MIA grâce au parrainage

En tant que courtier ou agent vous avec des mandataires qui on pour mission principale de vendre directement un produit au consommateur final, sur rendez-vous, en porte-à-porte, à domicile ou en réunion.
Dans cette organisation vos mandataires (code des assurance MIA) vont toucher alors une commission sur chacune des ventes qu'il réalise.
La particularité du multiniveau, c’est que chacun de vos mandataires a la possibilité de parrainer d’autres personne – en général issu de la recommandation des assurés convaincus par le produit – pour qu’ils deviennent eux-mêmes des mandataires-vendeurs. Ce filleul peut être l’acheteur lui-même, le chef d'entreprise, le représentant syndical, le réseau BNI... mais aussi le fils de l’acheteur, un connaissance en reconversion…

C’est une sorte de délégation de recrutement : vous confiez à vos mandataires la responsabilité de recruter d'autres mandataires et de les former. La commission qu’il touche alors sur les ventes de son "filleul" sert à le rétribuer pour la formation qu’il lui a attribuée.

Si le "filleul" recrute à son tour d’autres mandataires, le premier parrain peut toucher une commission (plus réduite) sur leur chiffre d’affaires, d’où le terme de vente « multiniveau ». Le nombre de niveaux sur lequel s’effectue la rémunération varie en fonction de chaque courtier et agent. Certaines ne rémunèrent que sur un niveau, d’autres sur plusieurs (exemple sur 3 niveaux).

Il n’y a pas de limite légale… mais plus les niveaux sont nombreux, plus la commission additionnelle est faible. En moyenne, les courtiers reversent 45 à 80 % du volume de la commission annuelle à la chaîne de commissionnement (réseau). Cette organisation est néanmoins à être rentables en éliminant tout frais de recrutement, charges sociales, publicité, formation, locaux…

Cette méthode pédagogique permet de faire grandir les talents correspond à un vrai travail,

L'art de faire grandir les talent c'est des gains modestes si il n’y a pas d’investissement en temps à 100%.
Le fait que votre mandataire recrute un "filleul" ne peut pas être rémunéré : la commission ne peut se faire que sur le chiffre d’affaires de ce dernier. Car le but du mandataire est de vendre vos produits d’assurance. C’est là tout l’enjeu du statut de parrain : si le filleul n’est pas formé correctement, il vendra peu, voire pas du tout et ne générera ni chiffre d’affaires, ni commission.
Recruter un filleul pour votre MIA nécessite donc un investissement personnel très important : il faut le former, le soutenir, le motiver… Ce qui représente un véritable travail de chef d’équipe, qui n’est pas à la portée de tous.

Un bon réseau doit permettre à ses vendeurs de vivre exclusivement de l’activité de vente. D’ailleurs il est important que dans un MLM, votre mandataire ait la possibilité, s’il le souhaite, de rester simplement vendeur, sans être obligé d’en parrainer d’autres. Il adoptera le statut « d’expert ».

Pas de généralité sur le montant des commissions, elles se situent entre 100 % de la prime annuel à 0,5 % !.
Ceci dit, une commission de 15 % sur un produit très facile à vendre et avec un volume de commission important peut permettre d’engranger plus de revenus qu’une commission de 40 % sur un produit difficile à placer et sans volume.
Donc le calcul de la redistribution de la commission est un enjeu stratégique pour le développement de votre réseau de mandataire.
Oubliez néanmoins les promesses du genre « gagnez 5 000 € par mois en travaillant deux heures par jour ! ». Avec 2 heures par jour la rémunération ne dépassera guère les 400 € par mois. Il s’agit donc davantage d’un complément de revenu, « où le but est surtout de se faire plaisir » ou d’ailleurs les seniors arrivent en masse.
Mais pour un investissement à plein temps, le mandataire peut espérer gagner tout de suite le Smic et rapidement progressé avec une commission déplafonnée. Grace a un dimensionnement du Barème de commission par palier, vous accompagner la progression des filleules et vous donner un cadre méthodologique pour les faire grandir.

L’élaboration d’un guide de développement des compétences avec des critères quantitatifs et qualitatifs devient l’outil de la fiabilisation de votre réseau de mandataire, par exemple :
- Devenir un mandataire barème de 1 à 3,
- Devenir manager de barème 3 à 6 et enfin
- Devenir entrepreneur barème 7 (ouverture d’un bureau, devenir associé,  mais aussi spécialisation sur un marché, produit, cible client…et pourquoi pas ouverture d’une filiale, d’une agence en région,)

Donc, pour ceux qui réussissent à gagner leur vie, la question de les accompagner vers l’entreprenariat se posera. Faire grandir les talents oui, mais les garder est plus difficile.

Une méthode pédagogique qui permet d'intégrer au statut de mandataire des profils qui n'étaient pas des commerciaux

Plus révélateur encore : il est communément admis que 97 % des personnes qui se lancent dans la vente multiniveau abandonnent rapidement.

Un chiffre dû aux promesses d’argent facile, qui se heurtent à la réalité du travail. Mais surtout ce chiffre s’explique aussi par le fait que, plus que dans n’importe quel autre secteur, tout le monde peut tenter sa chance : 90 % des vendeurs n’avaient jamais été formés au commerce auparavant. C’est donc une chance pour eux.

Donc plus vous êtes transparent et plus vous investissez dans la structuration de votre réseau plus le taux d'échec diminue.